Anne Perrin Khelissa, historienne de l’art, maîtresse de conférences à l’Université Toulouse - Jean-Jaurès, propose dans ce bref essai d’explorer les relations aux « objets précieux » à un moment stratégique de leur refondation, soit, selon l’auteure, le XVIII
e siècle. En effet, il s’y établirait les ressorts de notre rapport moderne à ce type d’objets particuliers dont le flou notionnel présente en soi un intérêt. Objets décoratifs, objets de luxe ou de demi-luxe, objets de curiosité, les manières plurielles de les qualifier sont en elles-mêmes des indices de façons différentes de leur accorder de la valeur.
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