Tirant sa matière d’une thèse de doctorat soutenue en 2011, l’ouvrage d’Ambre Vilain se fonde sur une conviction, rappelée avec force dans son introduction : en dépit de leur petite taille, les sceaux médiévaux ne sont en rien des œuvres mineures. Ils méritent donc que les historiens de l’art leur portent un intérêt accru.
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