Président du conseil de surveillance des chemins de fer, Administrateur de la Compagnie du PLM
conseil d'Etat (1826). Sous la Monarchie de juillet préfet des Vosges (1830), du Loiret (1835) et de la Somme (1840). Directeur général des tabacs (1842). Président de la Caisse générale des chemins de fer, en 1861, il est impliqué dans les poursuites dirigées contre M. Mirès et déclaré civilement responsable par le tribunal de 1ère instance de Paris et par la Cour impériale de la Seine mais acquitté en avril 1862 par l'effet de la réhabilitation de Mirès.
Elu député du 4ème collège des Vosges (Remiremont) le 10 juin 1843 Quitte la vie politique lors de la révolution de février 1848 mais, candidat monarchiste est élu député du Var (10 mars 1850) en remplacement de Ledru-Rollin condamné par la Haute Cour de Versailles après l'affaire du 13 juin 1849. Il approuve le coup d'Etat de 1851 et est nommé sénateur le 26 janvier 1852
Commandeur de la Légion d'honneur (27 avril 1845)