Casimir Cuinet est avoué.
Sans doute issu d'une famille de la région d'Amancey (Doubs) où le prénom de Casimir semble fréquent et dont un membre a participé à la querelle d'Alésia, il exerce à Lons-le-Saunier (Jura) en 1886 à la fin du XIXe siècle. Il est alors domicilié 1, rue Tamisier (maison Bruchon) à Lons.
Marié à Marie Poirot, il vit avec son fils, Pierre Célestin, 1 an, avec Léon Cuinet, clerc d'avoué, 23 ans, et une domestique.
On le retrouve ensuite (sans indication de prénom) à Besançon.
À la Société d'émulation du Jura, il est membre résidant au chef-lieu (1885-1895) puis correspondant (1896-1907). La Société n'enregistre son décès qu'en 1911.