sous-intendant militaire.
Il réside route de Savagna à Lons-le-Saunier (1913) puis est affecté à Versailles (1918).
A-t'il un lien quelconque avec le sous-intendant militaire Massot, fait prisonnier le 4 octobre 1840 près de Dely-Ibrahim (Alger) par des cavaliers arabes, et libéré par Abd-el-Kader le 18 mai 1841 sur intervention de Mgr Dupuch, évêque d'Alger ? (Paul FOURNIER, L'Etat d'Abd-el-Kader et sa puissance en 1841 d'après le rapport du sous-intendant militaire Massot, Revue d'histoire moderne et contemporaine, avril-juin 1954, p. 123-157). Les dates suggèrent en tout cas qu'il ne s'agit pas de lui.
Membre de la Société d'émulation du Jura résidant au chef-lieu (1913-1917). Il a disparu des listes en 1924.