Professeur de droit pénal. Philosophe et pédagogue.
Père : Saturnino Ferreira y Maria del Socorro Acevedo.
Déclare adhérer aux statuts de la Société positiviste internationale et fixe sa cotisation annuelle à 20 fr., la somme minimale est fixée à 3 fr. 65.
Demeure à Buenos Aires (Argentine).
Fonde en juillet 1924 le Comité positiviste argentin qui fonctionne jusqu’à son décès, et devient le vice-président du Comité positiviste occidental à Paris.
Dirige la revue El Positivismo, où il publie de nombreux articles de 1926 à sa mort en 1938, en Argentine, en France, au Chili, au Brésil et au Mexique.