Ouvrier mécanicien puis graveur.
Mécanicien à Grenoble en 1853. Il avait écrit en grosses lettres, dans son atelier : « Vive la République ! » Il fut condamné à trois mois de prison dans une affaire d’introduction clandestine de brochures démocratiques par la Savoie.
L’un des nombreux prolétaires de la première vague d’admission à la Société positiviste.
Entreprise de gravure Place Grenette à Grenoble, reprise par sa femme à partir de 1878, au moins jusqu’en 1896.
Admission à la SP : 19 décembre 1849.
Parents : Jules Joseph Oppert (1789-1857) et Marie Rose Gentil (1788-1857).
Sept frères et sœurs.
Marié le 28 octobre 1868 à Grenoble avec Thérèse Louise Jeanne Sophie Joubert (1832-après 1896).
Domicile : 33, rue Très Cloîtres à Grenoble (Isère).