Pierre Gimot est ouvrier mécanicien.
Prolétaire militant dans les milieux ouvriers. Il se définit dans une lettre à R. Congreve comme « sympathisant » mais pas comme un « positiviste » en 1878.
Adhère à la Société positiviste deux ans plus tard, suite à sa conversion au positivisme complet. Souscrit au subside « dans la mesure de ses moyens » pour l’enseignement. Abonné à la Revue Occidentale. Membre du Cercle des prolétaires positivistes (1885).
Admission Société positiviste: 22 juin 1880
Domiciles : 3, rue du Maine (Paris), 4 rue Crocé-Spinelli (Paris)