Greffier de justice de paix à Lons-le-Saunier, il a exercé cette profession au moins depuis 1887 et est remplacé dans cette fonction le 13 octobre 1907, date de son honorariat.
Fils de Jean-Claude Boudet, 43 ans, marchand tailleur à Lons-le-Saunier, et de Marianne Chevaugeon, même age, il est marié à Marie Clémence Lizon et habite au 8, place Perraud.
Il publie trois articles dans Le Vieux Lons en 1908 et 1909. Sa personnalité attachante lui a fait bénéficier d’un rare article nécrologique de la part d’Emile Monot dans la revue Le Vieux Lons. Il était membre de la Société d'émulation du Jura (membre résidant au chef-lieu (1874-1875)
C'est lui qui est dépositaire de l'herbier d'Aimé Thevenot en 1895 (cf. fiche à ce nom). Il communique avec Antoine Magnin (cf. fiche à ce nom) et lui donne accès à cet herbier.