Clotilde Bohet de Courbières est rentière.
Elle est la fille d'Alexis Ludovic Gabriel Bohet de Courbières (Saint-Paulien, 23 août 1856-Ibid., 24 janvier 1912) et de Pauline Moreau (Lons-le-Saunier, 19 janvier 1862-Saint Paulien, 14 novembre 1952), mariés le 14 mai 1884 à Lons-le-Saunier,
elle est la sœur cadette de Jeanne Bohet de Courbières (cf. fiche à ce nom).
Selon Henri Soulier (2011), cité plus bas, son père descendrait d'un marchand de bois jurassien mais cette affirmation apparaît peu vraisemblable.
C'est par sa mère que C. Bohet de Courbières est jurassienne (ascendance Moreau et Ponsard).
Elle fait partie à la Société d'émulation du petit groupe des femmes.
À Lons-le-Saunier, elle réside 39, rue des salines.
Au Puy, elle semble active à la Société académique du Puy et de la Haute-Loire, à la date de 1943 au moins.
Sociétés :
Société académique du Puy-en-Velay et de la Haute-Loire : membre à la date de 1943
Société d'émulation du Jura : membre résidant au chef-lieu (1935-1939 au moins)