Son père, Pierre Gustave Mathey, né à Baissey (Haute-Marne) en 1858, marié à Charlotte Marie Thérèse Besson, née en 1868 à Moutaine (Jura), est contrôleur des Contributions directes à sa naissance ; ses parents habitent alors 7, route de Villeneuve. Georges Mathey suit la voie paternelle : il est également contrôleur des Contributions directes au Mans (Sarthe) lorsqu'il épouse à Montbéliard, le 14 août 1923, Madeleine Cécile Marie Louise Schmitt, née à Fontaine (Territoire de Belfort) le 4 juin 1896; l'un de leurs témoins est Charles Armand, contrôleur des Contributions directes de la ville.
Il poursuit sa carrière à Lons-le-Saunier (Jura) comme Directeur des enquêtes économiques. Il y réside place du Marché au bois blanc.
Retraité, il entre à la Société d'émulation du Jura dont il devient trésorier (1954-1959 au moins). Il en est un membre actif et sa femme suit volontiers les séances dans lesquelles elle met une note de convivialité.
Il meurt chez son fils, Jean Mathey, employé au commissariat à l'énergie atomique et domicilié à Is-sur-Tille. Mais il est inhumé au cimetière de Lons-le-Saunier.