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Association pour le respect de l’intégrité du patrimoine artistique (ARIPA) - MONTPELLIER
Association pour le respect de l’intégrité du patrimoine artistique (ARIPA) - MONTPELLIER
Année de création : 1992Domaines d'activité: arts, protection et valorisation du patrimoine
Domaines géographiques: National
Périodes chronologiques: Préhistoire-Protohistoire, Antiquité, Moyen Âge, Moderne, Contemporain-Temps présent
Présentation de la société :
L'Association pour le Respect de l'Intégrité du Patrimoine Artistique
s'est constituée en 1992, autour du peintre Jean Bazaine, avec l'appui de nombreuses personnalités (1), pour réagir à la multiplication des restaurations injustifiées, hâtives et falsifiantes.
Réunissant des artistes, des connaisseurs, avec la collaboration d'historiens – notamment R.H. Marijnissen, spécialiste de l'histoire de la restauration – elle a poursuivi un travail d'étude, fondé sur l'examen des dossiers des musées, ainsi que de réflexion et de proposition, dont l'ensemble est publié dans sa revue Nuances.
L'Aripa et sa revue ont la particularité d'être co-dirigées par un restaurateur, Paul Pfister. Ce fait traduit ce qui a toujours été notre but : soutenir les soins indispensables à la bonne conservation des œuvres, développer les connaissances, engager un débat dans la profession comme dans le public et promouvoir les solutions minimalistes alternatives.
s'est constituée en 1992, autour du peintre Jean Bazaine, avec l'appui de nombreuses personnalités (1), pour réagir à la multiplication des restaurations injustifiées, hâtives et falsifiantes.
Réunissant des artistes, des connaisseurs, avec la collaboration d'historiens – notamment R.H. Marijnissen, spécialiste de l'histoire de la restauration – elle a poursuivi un travail d'étude, fondé sur l'examen des dossiers des musées, ainsi que de réflexion et de proposition, dont l'ensemble est publié dans sa revue Nuances.
L'Aripa et sa revue ont la particularité d'être co-dirigées par un restaurateur, Paul Pfister. Ce fait traduit ce qui a toujours été notre but : soutenir les soins indispensables à la bonne conservation des œuvres, développer les connaissances, engager un débat dans la profession comme dans le public et promouvoir les solutions minimalistes alternatives.